Non ceci n'est pas un coup de gueule contre qui que ce soit...Mais je constate que Warhammer Online ne me plait pas!!!!! Je crois qu'après sept ans de MMO je me suis lassé.
Déjà World of Warcraft m'avait bien lassé sur la fin mais là c'est le jeu à son début. Je pense finir ce mois-ci, peut-être rempiler pour avoir un perso de niveau maximum, c'est à dire 40 mais rien que le peu de temps que j'ai passé dessus, je me suis ennuyé.
Est-ce le poker qui m'intéresse plus? ou bien le fait d'avoir une PS3 et de vouloir prendre des nouveautés....Bientôt la sortie de Need for speed (dont j'ai testé son prédécesseur sur PS2) motorstorm et résistance 2.
Voilà c'était un billet non pas pour faire fuir les joueurs des MMO car ca reste un très beau jeu WaR et WoW avec son extension est surement très bien aussi. Mais je n'ai pas retrouvé la fibre que j'avais sous Dark age....
mercredi 26 novembre 2008
jeudi 13 novembre 2008
Poker - Acte 6
Je suis entré dans le cercle grandissant des joueurs de poker il y a six mois environ et j’aime ce jeu. Il est subtil et dangereux par son côté prenant.
Avec un ami nous tentons de nous sélectionner pour les émissions de télévision et aussi pour le FTP. Pour ma part je joue aussi en sit’n’go car je n’accroche pas au cash game.
Pour le moment je suis à la limite la plus basse soit 1$
Ma dernière séance était décevante, j’ai perdu 5$ en jouant vraiment mal. A cette limite les joueurs ne sont pas véritablement sérieux et pense qu’une main comme J7 est une bonne main….J’ai eu un bad beat à ma dernière partie mais j’aurais du sortir 6ème ce qui équilibre cette partie. Je finis avec mon brelan contre une quinte. J’aurais pu couper les côtes de mon adversaire au flop mais j’ai slowplayé….Mal m’en a pris.
Par contre une autre partie ou j’ai lamentablement perdu fût celle ou j’ai joué AJ en étant premier de parole (UTG) deux joueurs call, je CB le flop rainbow et neutre, un fold et un call.
Je savais que j’avais perdu mais je n’ai pas lâché prise et il avait touché son 2 avec A2.
Je perds ensuite avec AJ au bouton contre une paire qui tient jusqu’au bout.
Pour les deux satellites NRJ12 et Direct Poker, c’est mitigé, il faut dire que ces tournois gratuits attirent beaucoup de monde et on se retrouve facilement en HU avec six autres joueurs en sit out. C’est assez spécial à appréhender. J’ai réussi à atteindre les 1000 premières places pour un des deux tournois.
Pour le second j’ai assez mal joué surtout ma dernière main car je savais que j’étais largement battu. J’ai quand même noté qu’il y avait un joueur en plein rush car quoiqu’il faisait, il touchait ses cartes. Il a dû destacker trois ou quatre joueurs, j’étais assez impressionné. Celui qui m’a fait rejoindre la sortie, était le second tapis de la table avec 45K.
Le plus impressionnant dans ce genre de tournoi c’est le rythme des éliminations. En une heure, cinq mille joueurs sont remerciés.
Et sinon ? Warhammer online c’est intéressant mais finalement pas aussi bien que DaoC, je ferais un petit billet sur le sujet prochainement.
Avec un ami nous tentons de nous sélectionner pour les émissions de télévision et aussi pour le FTP. Pour ma part je joue aussi en sit’n’go car je n’accroche pas au cash game.
Pour le moment je suis à la limite la plus basse soit 1$
Ma dernière séance était décevante, j’ai perdu 5$ en jouant vraiment mal. A cette limite les joueurs ne sont pas véritablement sérieux et pense qu’une main comme J7 est une bonne main….J’ai eu un bad beat à ma dernière partie mais j’aurais du sortir 6ème ce qui équilibre cette partie. Je finis avec mon brelan contre une quinte. J’aurais pu couper les côtes de mon adversaire au flop mais j’ai slowplayé….Mal m’en a pris.
Par contre une autre partie ou j’ai lamentablement perdu fût celle ou j’ai joué AJ en étant premier de parole (UTG) deux joueurs call, je CB le flop rainbow et neutre, un fold et un call.
Je savais que j’avais perdu mais je n’ai pas lâché prise et il avait touché son 2 avec A2.
Je perds ensuite avec AJ au bouton contre une paire qui tient jusqu’au bout.
Pour les deux satellites NRJ12 et Direct Poker, c’est mitigé, il faut dire que ces tournois gratuits attirent beaucoup de monde et on se retrouve facilement en HU avec six autres joueurs en sit out. C’est assez spécial à appréhender. J’ai réussi à atteindre les 1000 premières places pour un des deux tournois.
Pour le second j’ai assez mal joué surtout ma dernière main car je savais que j’étais largement battu. J’ai quand même noté qu’il y avait un joueur en plein rush car quoiqu’il faisait, il touchait ses cartes. Il a dû destacker trois ou quatre joueurs, j’étais assez impressionné. Celui qui m’a fait rejoindre la sortie, était le second tapis de la table avec 45K.
Le plus impressionnant dans ce genre de tournoi c’est le rythme des éliminations. En une heure, cinq mille joueurs sont remerciés.
Et sinon ? Warhammer online c’est intéressant mais finalement pas aussi bien que DaoC, je ferais un petit billet sur le sujet prochainement.
vendredi 7 novembre 2008
La saga qui va vous épater
Après une bonne prise de tête sur l’upgrade de ma machine avec un minimum de sioux, car non je n’ai pas encore gagné au poker et pour cause je me suis mis à Warhammer Online !!!
C’est d’ailleurs ce jeu qui me pousse à améliorer mon ordinateur…saleté de société de consommation ;o) Bref, en ce moment même quelqu’un est en mission pour moi afin de vérifier les compatibilités et les prix de ces modifications avant le nouveau PC Alienwareeeeee (non fourni avec sigourney weaver)
Donc après ces échauffements neuronaux, j’en viens à l’essentiel de ce billet : un peu de littérature. J’aimerais faire l’apologie de Millénium, une saga dont contrairement à convenant anti-héros lépreux ne laisse pas indifférent.
Chacun des trois "Millénium" commence par un rythme lent avec la mise en place des personnages qui sortent de l’ordinaire mais celui-ci s’accélère avec une intrigue principale qui s’épaissit de page en page. Chaque roman peux se lire aussi indifféremment des deux autres mais je conseille quand même de lire dans l’ordre pour la bonne compréhension des liens entre les différentes parties.
L’auteur Stieg Larsson est décédé après avoir donné la trilogie à son éditeur ce qui a engendré un beau débat entre sa famille et son amie….Il paraîtrait qu’un quatrième tome existe dans l’ordinateur pris par sa compagne. Ce qui est vraiment épatant avec ce roman c’est ce qui se passe dans le réel avec le testament de l’auteur et des batailles juridiques. Un lien récupéré au fil des lectures.
En écrivant ce billet je suis même tombé sur un jeu concours qui permet de gagner ces ouvrages suivez donc ce chemin de traverse.
Pour finir ce roman est édité par Acte Sud (non je n'ai pas d'action chez eux mais je voulais le souligner)
C’est d’ailleurs ce jeu qui me pousse à améliorer mon ordinateur…saleté de société de consommation ;o) Bref, en ce moment même quelqu’un est en mission pour moi afin de vérifier les compatibilités et les prix de ces modifications avant le nouveau PC Alienwareeeeee (non fourni avec sigourney weaver)
Donc après ces échauffements neuronaux, j’en viens à l’essentiel de ce billet : un peu de littérature. J’aimerais faire l’apologie de Millénium, une saga dont contrairement à convenant anti-héros lépreux ne laisse pas indifférent.
Chacun des trois "Millénium" commence par un rythme lent avec la mise en place des personnages qui sortent de l’ordinaire mais celui-ci s’accélère avec une intrigue principale qui s’épaissit de page en page. Chaque roman peux se lire aussi indifféremment des deux autres mais je conseille quand même de lire dans l’ordre pour la bonne compréhension des liens entre les différentes parties.
L’auteur Stieg Larsson est décédé après avoir donné la trilogie à son éditeur ce qui a engendré un beau débat entre sa famille et son amie….Il paraîtrait qu’un quatrième tome existe dans l’ordinateur pris par sa compagne. Ce qui est vraiment épatant avec ce roman c’est ce qui se passe dans le réel avec le testament de l’auteur et des batailles juridiques. Un lien récupéré au fil des lectures.
En écrivant ce billet je suis même tombé sur un jeu concours qui permet de gagner ces ouvrages suivez donc ce chemin de traverse.
Pour finir ce roman est édité par Acte Sud (non je n'ai pas d'action chez eux mais je voulais le souligner)
mardi 28 octobre 2008
Pirates - 50 Fathoms - Episode 9.2
Le navire se dirigea vers l’île des pirates pour en finir avec cette vermine. Nous avions estimé à deux jours de navigation et de préparation mais nous ne nous attendions pas au comité d’accueil. La mer était houleuse et les bandits avaient fort à faire avec une des trois sorcières.
La menace des pirates se résumait à un nombre misérable de survivant dans le port dévasté qui combattait pour leur survie. Après un conciliabule, nous avions décidé d’utiliser le navire comme une bombe, l’ingénieur « papy » pipe au bec prit les choses en main. James H. contrôla le vent pour diriger le bateau sur la sorcière, le navire ayant atteint une vitesse raisonnable l’équipage quitta le navire…
La sorcière aperçu le navire à pleine vitesse bien trop tard pour se protéger. Hélas la puissance de la poudre pulvérisa le navire et tout ce qui se trouvait à proximité. Son dernier geste affecta la plupart des membres de l’équipage qui resta dans l’air de l’explosion.
Seulement neuf membres survécurent ainsi que la sorcière qui nous toisait d’un air mauvais volant au-dessus de l’eau. Elle nous scruta un moment avant d’afficher un rictus aux lèvres.
Son regard se rempli d’effroi en voyant nos pierres de lys brandit.
Jame H. envoya alors une de ces boule de feu géante et Kepharemos invoqua des profondeurs une lame d’eau gigantesque. Elle invoqua un bouclier protecteur et le choc des magies fît trembler les flots. Le port fût quasiment détruit par le choc d’énergie ainsi que le reste des bateaux qui y étaient amarrés.
Nous n’avions plus de navire mais une des trois sorcières avait passé l’arme à gauche et la menace des pirates n’était plus que vague souvenir. Nous ne pensions qu’à rejoindre l’ancien repère des pirates pour souffler un peu et bander nos blessures.
Quelques jours plus tard, ayant récupéré le matériel que la mer charriait sur le rivage alentour, nous commencions à préparer un plan pour retourner à Baltimus. Il nous fallait un nouveau navire ou fabriquer un radeau. Le capitaine Sam, le commandement ayant changé lors d’une soudaine prise de conscience de James H. (qui avait rendu le tablier avec moult gestes et postures sous le quolibet des hommes d’équipage) décida d’un groupe d’exploration et d’un groupe de construction.
L’exploration de l’île nous conduisit dans un village de pécheurs qui commerçaient bien malgré eux avec les pirates. Nous réussîmes à les persuader d’un retournement de la situation et que nous les avions libérés. Cependant lorsque nous leur demandions un de leur bateau de pêche, leurs vieux démons revinrent. Il crurent encore à une exploitation d’un nouveau conquérant.
Ce fût avec diplomatie lors du conseil du village qu’il fut décider qu’il nous donnerait un de leur précieux esquif si nous dirent se révélaient exact. Deux groupes de pécheurs nous accompagnèrent alors à la base du « vieux Mike ». Nom honorifique de l’ancien repère en souvenir de notre vieil ingénieur mort lors de notre bataille épique contre la sorcière. Nos dires furent vérifiés et nous priment possession de l’esquif qui servit d’armature principale pour le radeau.
(A suivre chapitre 9-3 Fou à lié, c'était pas si mal)
La menace des pirates se résumait à un nombre misérable de survivant dans le port dévasté qui combattait pour leur survie. Après un conciliabule, nous avions décidé d’utiliser le navire comme une bombe, l’ingénieur « papy » pipe au bec prit les choses en main. James H. contrôla le vent pour diriger le bateau sur la sorcière, le navire ayant atteint une vitesse raisonnable l’équipage quitta le navire…
La sorcière aperçu le navire à pleine vitesse bien trop tard pour se protéger. Hélas la puissance de la poudre pulvérisa le navire et tout ce qui se trouvait à proximité. Son dernier geste affecta la plupart des membres de l’équipage qui resta dans l’air de l’explosion.
Seulement neuf membres survécurent ainsi que la sorcière qui nous toisait d’un air mauvais volant au-dessus de l’eau. Elle nous scruta un moment avant d’afficher un rictus aux lèvres.
Son regard se rempli d’effroi en voyant nos pierres de lys brandit.
Jame H. envoya alors une de ces boule de feu géante et Kepharemos invoqua des profondeurs une lame d’eau gigantesque. Elle invoqua un bouclier protecteur et le choc des magies fît trembler les flots. Le port fût quasiment détruit par le choc d’énergie ainsi que le reste des bateaux qui y étaient amarrés.
Nous n’avions plus de navire mais une des trois sorcières avait passé l’arme à gauche et la menace des pirates n’était plus que vague souvenir. Nous ne pensions qu’à rejoindre l’ancien repère des pirates pour souffler un peu et bander nos blessures.
Quelques jours plus tard, ayant récupéré le matériel que la mer charriait sur le rivage alentour, nous commencions à préparer un plan pour retourner à Baltimus. Il nous fallait un nouveau navire ou fabriquer un radeau. Le capitaine Sam, le commandement ayant changé lors d’une soudaine prise de conscience de James H. (qui avait rendu le tablier avec moult gestes et postures sous le quolibet des hommes d’équipage) décida d’un groupe d’exploration et d’un groupe de construction.
L’exploration de l’île nous conduisit dans un village de pécheurs qui commerçaient bien malgré eux avec les pirates. Nous réussîmes à les persuader d’un retournement de la situation et que nous les avions libérés. Cependant lorsque nous leur demandions un de leur bateau de pêche, leurs vieux démons revinrent. Il crurent encore à une exploitation d’un nouveau conquérant.
Ce fût avec diplomatie lors du conseil du village qu’il fut décider qu’il nous donnerait un de leur précieux esquif si nous dirent se révélaient exact. Deux groupes de pécheurs nous accompagnèrent alors à la base du « vieux Mike ». Nom honorifique de l’ancien repère en souvenir de notre vieil ingénieur mort lors de notre bataille épique contre la sorcière. Nos dires furent vérifiés et nous priment possession de l’esquif qui servit d’armature principale pour le radeau.
(A suivre chapitre 9-3 Fou à lié, c'était pas si mal)
mercredi 24 septembre 2008
Pirates - 50 Fathoms - Episode 9.1
La réputation de fou à lié associé à la sombre notoriété du « White Perl » nous mis en difficulté pour recruter un équipage digne de ce nom. Par chance les graels revinrent.
La flotte de Baltimus se préparait à combattre un rassemblement de pirate dans les îles plus à l’ouest et nous décidâmes de les suivre afin de redorer notre blason en montrant notre courage et notre vaillance. Il fût décidé que le navire aurait trois capitaines qui changeraient à tour de rôle. Les anciens ne furent pas surpris de cette mesure plutôt hors du commun et les autres se demandèrent où ils avaient mis les pieds.
La voile fût hissée haute et la brigantine quitta la baie de Baltimus pour rejoindre la flotte du peuple libre. Une fois au large des îles du centre que nous contournions par le nord, le vent se leva et la mer devint de plus en plus agitée. Un vieux loup de mer pipe au bec cracha que le grain tombera d’ici peu et sa prédiction se révéla exacte.
Ce ne fût pas un simple grain mais une tempête que nous affrontions, sur le maigre équipage que nous avions, deux hommes périrent dans la mer déchaînée et le « White Perl » s’échoua sur une île de l’archipel du centre. Les dégâts sur le navire étaient mineur mais il faudrait quelques jours pour le remettre à flot. Nous décidâmes de monter une expédition pour visiter ce magnifique endroit couvert par la végétation. Une colline surplombait la plage et le groupe d’exploration se mit en route une fois les réparations terminées car nous devions aussi connaître notre position.
La forêt couvrait visiblement une bonne partie de l’île sans être trop dense. Le sentier semblait nous conduire vers la colline et plus nous avancions, plus nous rencontrions des dépouilles d’animaux comme évidés. Cela n’avait rien de rassurant et nous nous préparions à combattre. Le sentier s’élargit pour déboucher sur une clairière où se trouvait enfoncé dans le sol une étrange construction comme tombé du ciel. L’impacte avait dû être impressionnant car le cratère autour de cette construction mesurait pas loin de 100m de diamètre. Des bruits provenaient de ce trou et notre cœur se souleva en voyant un étrange spectacle. Il s’agissait de fourmis géantes dont le regard luisait d’une rage meurtrière qui se repaissait des cadavres des animaux de la forêt, l’odeur imprégnait l’air. Le plus impressionnant n’étaient pas les fourmis qui semblaient doter d’un minimum d’intelligence mais l’étrange créature qui les commandait, un hybride d’octopon femme insecte avec quatre énormes mandibules et trois paires de yeux rouges. Son regard se posa sur nous et elle stridula quelques notes qui mirent en mouvement les fourmis géantes. Nous leur offrions un beau dessert mais pas sans nous défendre. Kepharemos et James lancèrent leurs plus gros sortilèges ce qui tua quelques insectes mais le cri de l’hybride alerta celles dans la construction. Nous comprîmes alors qu’il s’agissait d’un nid et que notre seule chance de survie était la fuite. Nous courrions avec l’énergie du désespoir, James et Kepharemos utilisant tout leur pouvoir pour retarder la progression des fourmis mais celle-ci ne s’arrêtaient que pour nous lancer des jets d’acide très corrosifs. En descendant de la colline, nous vîmes une baie où se terraient les fameux pirates. Tout le groupe sauta dans la chaloupe pour rejoindre le « White Perl » et par chance aucun jet d’acide nous toucha. Les créatures s’arrêtèrent au bord de l’eau ne sachant visiblement pas nager à notre grande joie.
(a suivre : ma sorcière bien aimé)
La flotte de Baltimus se préparait à combattre un rassemblement de pirate dans les îles plus à l’ouest et nous décidâmes de les suivre afin de redorer notre blason en montrant notre courage et notre vaillance. Il fût décidé que le navire aurait trois capitaines qui changeraient à tour de rôle. Les anciens ne furent pas surpris de cette mesure plutôt hors du commun et les autres se demandèrent où ils avaient mis les pieds.
La voile fût hissée haute et la brigantine quitta la baie de Baltimus pour rejoindre la flotte du peuple libre. Une fois au large des îles du centre que nous contournions par le nord, le vent se leva et la mer devint de plus en plus agitée. Un vieux loup de mer pipe au bec cracha que le grain tombera d’ici peu et sa prédiction se révéla exacte.
Ce ne fût pas un simple grain mais une tempête que nous affrontions, sur le maigre équipage que nous avions, deux hommes périrent dans la mer déchaînée et le « White Perl » s’échoua sur une île de l’archipel du centre. Les dégâts sur le navire étaient mineur mais il faudrait quelques jours pour le remettre à flot. Nous décidâmes de monter une expédition pour visiter ce magnifique endroit couvert par la végétation. Une colline surplombait la plage et le groupe d’exploration se mit en route une fois les réparations terminées car nous devions aussi connaître notre position.
La forêt couvrait visiblement une bonne partie de l’île sans être trop dense. Le sentier semblait nous conduire vers la colline et plus nous avancions, plus nous rencontrions des dépouilles d’animaux comme évidés. Cela n’avait rien de rassurant et nous nous préparions à combattre. Le sentier s’élargit pour déboucher sur une clairière où se trouvait enfoncé dans le sol une étrange construction comme tombé du ciel. L’impacte avait dû être impressionnant car le cratère autour de cette construction mesurait pas loin de 100m de diamètre. Des bruits provenaient de ce trou et notre cœur se souleva en voyant un étrange spectacle. Il s’agissait de fourmis géantes dont le regard luisait d’une rage meurtrière qui se repaissait des cadavres des animaux de la forêt, l’odeur imprégnait l’air. Le plus impressionnant n’étaient pas les fourmis qui semblaient doter d’un minimum d’intelligence mais l’étrange créature qui les commandait, un hybride d’octopon femme insecte avec quatre énormes mandibules et trois paires de yeux rouges. Son regard se posa sur nous et elle stridula quelques notes qui mirent en mouvement les fourmis géantes. Nous leur offrions un beau dessert mais pas sans nous défendre. Kepharemos et James lancèrent leurs plus gros sortilèges ce qui tua quelques insectes mais le cri de l’hybride alerta celles dans la construction. Nous comprîmes alors qu’il s’agissait d’un nid et que notre seule chance de survie était la fuite. Nous courrions avec l’énergie du désespoir, James et Kepharemos utilisant tout leur pouvoir pour retarder la progression des fourmis mais celle-ci ne s’arrêtaient que pour nous lancer des jets d’acide très corrosifs. En descendant de la colline, nous vîmes une baie où se terraient les fameux pirates. Tout le groupe sauta dans la chaloupe pour rejoindre le « White Perl » et par chance aucun jet d’acide nous toucha. Les créatures s’arrêtèrent au bord de l’eau ne sachant visiblement pas nager à notre grande joie.
(a suivre : ma sorcière bien aimé)
mercredi 20 août 2008
Dernière scéance
Avant de retrouver Batman au cinéma, je suis resté sagement chez moi pour une scéance DVD. Voici ce que j'ai vu et mes petites notes.
Le deuxième souffle : Film français sur le milieu dans les années 60. Ce film mélange de Dick Tracy et des incorruptibles reste un film plutôt simple et agréable à regarder. Le scénario plutôt simpliste ne nous surprend guère mais les personnages sont d’un stéréotype plutôt émouvant.
Le gros dur qui ne déviera pas de sa ligne de conduite ex-taulard prouvant que nul ne peut bafouer son intégrité (Daniel Auteuil)
La mère tenancière non pas d’un bordel mais d’un restaurant chic où se passera le déclencheur de l’histoire grâce à une scène digne des affranchis. (avec moins de protagonistes et moins de pétarades) Celle-ci est bien sur amoureuse du gros dur qui voudra le persuader de s’enfuir avec lui…(Monica Belluci)
Le bras droit bien sur prêt à tout pour la tenancière et sûrement amoureux d’elle (Eric Cantona)
Et bien sur les belligérants : Le mafieux tenancier d’un club parisien plutôt suffisant, son frère tenancier d’un club marseillais plutôt maître d’œuvre, le billy the kid marseillais et les seconds couteaux.
N’oublions pas le vieux qui a roulé sa bosse. Nerf d’acier, froid mais prêt à filer des coups de pouce car il a décidé de raccrocher et de vivre longtemps. Nous avons aussi le vieux loup de mer qui trempe dans les magouilles en tout genre et viendra en aide à son ami le caïd qui descendra sur marseille.
Que serait un film de gangster sans la police ? Nous retrouvons donc un commissaire parisien d’un humour sarcastique redoutable et d’une logique à toute épreuve (Michel Blanc) suivi par un jeune premier. Viendra aussi le tour de l’inspecteur marseillais qui loin de la finesse du premier, utilise des moyens peu orthodoxes afin d’obtenir ce qu’il veut et bien sur cela est parfois fatal…
Le deuxième souffle : Film français sur le milieu dans les années 60. Ce film mélange de Dick Tracy et des incorruptibles reste un film plutôt simple et agréable à regarder. Le scénario plutôt simpliste ne nous surprend guère mais les personnages sont d’un stéréotype plutôt émouvant.
Le gros dur qui ne déviera pas de sa ligne de conduite ex-taulard prouvant que nul ne peut bafouer son intégrité (Daniel Auteuil)
La mère tenancière non pas d’un bordel mais d’un restaurant chic où se passera le déclencheur de l’histoire grâce à une scène digne des affranchis. (avec moins de protagonistes et moins de pétarades) Celle-ci est bien sur amoureuse du gros dur qui voudra le persuader de s’enfuir avec lui…(Monica Belluci)
Le bras droit bien sur prêt à tout pour la tenancière et sûrement amoureux d’elle (Eric Cantona)
Et bien sur les belligérants : Le mafieux tenancier d’un club parisien plutôt suffisant, son frère tenancier d’un club marseillais plutôt maître d’œuvre, le billy the kid marseillais et les seconds couteaux.
N’oublions pas le vieux qui a roulé sa bosse. Nerf d’acier, froid mais prêt à filer des coups de pouce car il a décidé de raccrocher et de vivre longtemps. Nous avons aussi le vieux loup de mer qui trempe dans les magouilles en tout genre et viendra en aide à son ami le caïd qui descendra sur marseille.
Que serait un film de gangster sans la police ? Nous retrouvons donc un commissaire parisien d’un humour sarcastique redoutable et d’une logique à toute épreuve (Michel Blanc) suivi par un jeune premier. Viendra aussi le tour de l’inspecteur marseillais qui loin de la finesse du premier, utilise des moyens peu orthodoxes afin d’obtenir ce qu’il veut et bien sur cela est parfois fatal…

Le serpent : le genre de film ou vous avez du mal à vous mettre dedans mais une fois que c’est fait, rien ni personne ne pourra vous décoller du siège. Une histoire des plus glauques plus psychologique que détonante.
Je résumerais juste que les démons surgissent parfois du passé et que cela peut faire mal.
Les acteurs principaux Yvan Attal et Clovis Cornillac sont des « duellistes » remarquables.Visiblement le film est assez différent du livre mais une fois n’est pas coutume.
mercredi 13 août 2008
La saga de l'été à éviter
Je suis un lépreux richissime choisi par le créateur envoyé dans un monde qui peut me guérir mais plutôt que d’y croire, je suis un hermétique incroyant. Je me permets alors de violer, de semer la mort bien malgré moi mais aussi de devenir de plus en plus pitoyable. Par chance, je suis adulé par tout ce royaume, pourquoi d’ailleurs ??
Je vous demande alors : Qui suis-je ?
Je suis le « héros » de la trilogie de Stephen R. Donaldson. Si vous voulez un lien, cherchez par vous-même car je ne saurais conseiller cette saga de 1500 pages.
Vous trouverez des enchaînements de descriptions dignes de Tolkien sans les hobbit et surtout plein de pléonasme. Au cas ou vous n’auriez pas compris que le mont tonnerre est plutôt escarpé et accidenté les rochers surgissant de part et d’autre du sentier, l’auteur ajoute que cet amas ressemblait à un navire transpercé par des espars !!!!
Bref, des descriptions répétitives et une multitude des dialogues bien creux. La trilogie pourrait se résumer en un tome de 500 pages et gagnerait sûrement en clarté et en rebondissement.
Attention Spoiler ceux qui liraient ce résumé seront bien malades (à la hauteur du « héros ») ou alors bien curieux pour lire ensuite les romans car je dévoile pas mal d’éléments principaux de l’intrigue.
Parlons un peu des personnages et de l’intrigue elle-même. Un « Satan » banni par dieux décide d’invoquer un pouvoir via un serviteur et son puissant artefact que « Satan » ne peux utiliser sinon ça pourrait lui nuire. Apparaît alors le « héros » bien sur désigné par dieux oups! Le « Créateur ». Le « héros » devient un messager qui doit apporter un message aux seigneurs sinon ah ah fin du roman !!
Invoqué sur une plate-forme on apprend qu’il a le vertige cependant avec la lèpre (donc plus de nerf) pas facile d’avancer…. Il rencontre alors une jolie fille qui le soignera car il a chu (une fois n’est pas coutume, vous pourrez compter le nombre de ses chutes dans les trois romans si vous le souhaiter pour vous distraire.) Dans ce royaume les habitants perçoivent la vie des éléments avouons que l’auteur a bien développé ce concept intéressant. C’est donc grâce à la terre que notre héros retrouvera quelques sensations mais vu qu’il réfute tout cela ne l’aide pas beaucoup.
Il tombe bien sur sous le charme de la damoiselle mais plutôt que de développer une histoire de romance l’auteur choisi le viol c’est beaucoup plus classe. La fille se cache et c’est sa maman qui doit conduire le « héros » plein de regret voir les seigneurs. Sur la route l’amoureux de Léna (la fille jolie) veux tuer le violeur mais cela violerait le serment de paix règle établi par le royaume (premier rebondissement) depuis la profanation de Kevin premier héros qui a repoussé mais non tué le « Satan ». C’est donc la mère de la fille bafouée qui va mener le lépreux à travers les terres supportant le lourd fardeau de la révélation de son méfait.
Atiaran qui invoquera dans le second tome un aveugle second « héros » de la saga provenant de la terre s’en retourne alors dépité vers son village laissant Covenant (c’est le nom du héros) entre les mains d’un géant… Je passe l’histoire des géants qui seront exterminés donc cela ne vaux pas le coup de s’attarder… Suilécume qui sortira de la poche tel un As providentiel pour compléter une quinte flush royale (oups! le poker) reviendra dans le troisième tome car il aura survécu à la première quête (ah ah qui l’eu cru)
Le héros toujours aussi lamentable sera reçu par les Seigneurs qui mettent leur confiance dans le porteur de l’or blanc (une alliance de son ancien mariage qu’il garde en souvenir car il se refuse à croire qu’il a divorcé !!!!)
Je m’arrêterais là pour ce premier résumé qui est déjà bien acerbe comme cela.
Je vous demande alors : Qui suis-je ?
Je suis le « héros » de la trilogie de Stephen R. Donaldson. Si vous voulez un lien, cherchez par vous-même car je ne saurais conseiller cette saga de 1500 pages.
Vous trouverez des enchaînements de descriptions dignes de Tolkien sans les hobbit et surtout plein de pléonasme. Au cas ou vous n’auriez pas compris que le mont tonnerre est plutôt escarpé et accidenté les rochers surgissant de part et d’autre du sentier, l’auteur ajoute que cet amas ressemblait à un navire transpercé par des espars !!!!
Bref, des descriptions répétitives et une multitude des dialogues bien creux. La trilogie pourrait se résumer en un tome de 500 pages et gagnerait sûrement en clarté et en rebondissement.
Attention Spoiler ceux qui liraient ce résumé seront bien malades (à la hauteur du « héros ») ou alors bien curieux pour lire ensuite les romans car je dévoile pas mal d’éléments principaux de l’intrigue.
Parlons un peu des personnages et de l’intrigue elle-même. Un « Satan » banni par dieux décide d’invoquer un pouvoir via un serviteur et son puissant artefact que « Satan » ne peux utiliser sinon ça pourrait lui nuire. Apparaît alors le « héros » bien sur désigné par dieux oups! Le « Créateur ». Le « héros » devient un messager qui doit apporter un message aux seigneurs sinon ah ah fin du roman !!
Invoqué sur une plate-forme on apprend qu’il a le vertige cependant avec la lèpre (donc plus de nerf) pas facile d’avancer…. Il rencontre alors une jolie fille qui le soignera car il a chu (une fois n’est pas coutume, vous pourrez compter le nombre de ses chutes dans les trois romans si vous le souhaiter pour vous distraire.) Dans ce royaume les habitants perçoivent la vie des éléments avouons que l’auteur a bien développé ce concept intéressant. C’est donc grâce à la terre que notre héros retrouvera quelques sensations mais vu qu’il réfute tout cela ne l’aide pas beaucoup.
Il tombe bien sur sous le charme de la damoiselle mais plutôt que de développer une histoire de romance l’auteur choisi le viol c’est beaucoup plus classe. La fille se cache et c’est sa maman qui doit conduire le « héros » plein de regret voir les seigneurs. Sur la route l’amoureux de Léna (la fille jolie) veux tuer le violeur mais cela violerait le serment de paix règle établi par le royaume (premier rebondissement) depuis la profanation de Kevin premier héros qui a repoussé mais non tué le « Satan ». C’est donc la mère de la fille bafouée qui va mener le lépreux à travers les terres supportant le lourd fardeau de la révélation de son méfait.
Atiaran qui invoquera dans le second tome un aveugle second « héros » de la saga provenant de la terre s’en retourne alors dépité vers son village laissant Covenant (c’est le nom du héros) entre les mains d’un géant… Je passe l’histoire des géants qui seront exterminés donc cela ne vaux pas le coup de s’attarder… Suilécume qui sortira de la poche tel un As providentiel pour compléter une quinte flush royale (oups! le poker) reviendra dans le troisième tome car il aura survécu à la première quête (ah ah qui l’eu cru)
Le héros toujours aussi lamentable sera reçu par les Seigneurs qui mettent leur confiance dans le porteur de l’or blanc (une alliance de son ancien mariage qu’il garde en souvenir car il se refuse à croire qu’il a divorcé !!!!)
Je m’arrêterais là pour ce premier résumé qui est déjà bien acerbe comme cela.
Inscription à :
Commentaires (Atom)