mardi 14 avril 2009

Barbarians - Chapitre 2.1 Préparatif d'avant guerre

2.1.1 Un courrier inquiétant

Les rumeurs d’invasion de Sarlaknar par les troupes provenant des îles du crâne s’amplifièrent et se confirmèrent, la ville fût alors en effervescence, les pirates allaient bientôt débarquer et piller notre bonne ville bordant portuaire.
Le cri des mouettes réveilla nos trois compagnons qui se concertèrent pour les évènements à venir. Ashurban voulait que ses biens se retrouvent en lieu sur pour éviter les pilleurs lors des prochains jours qui s’annonçaient chaotiques.
Il fût décidé de transporter ses effets dans les ruines d’Az’karlor situé à trois jours de la ville. La réputation du lieu devrait tenir les curieux à distance.

Marco et Ashurban se mirent alors à piéger l’ensemble de la demeure chacun dans son domaine, l’un physique, l’autre psychique. Au cours de l’après-midi, le heurtoir nous avertit de la présence d’un visiteur.
Guill accueilli un messager du gouverneur et apporta le message au sorcier. Nos compagnons méfiants de nature trouvèrent le message par trop banal pour être honnête, Ashurban congédia le coursier dans une pièce adjacente et fît quelques passes magiques pour dévoiler le vrai contenu de la missive.
Celui-ci comme tout parchemin protégé annonce rarement de bonnes nouvelles et celui-ci ne fît pas exception à la règle. Il nous avertissait que les espions du gouverneur avaient eu vent d’un complot d’assassinat sur sa fille et qu’il demandait à Ashurban et à ses compagnons de lui venir en aide en protection de sa fille au fort.
Marco se fît accompagné au fort par le milicien délivreur de la lettre pendant que ses compagnons finissaient les préparatifs du voyage.

--> la suite en cliquant sur le lien en savoir plus sous les libellés


2.1.2 Les serpents sortent aussi en plein jour

Le fort du gouverneur se trouvait sur les hauteurs de la ville à l’opposé de la demeure d’Ashurban l’œil sombre. L’urbanisme à proximité du fort devenait plus élaboré et les maisons plus spacieuses. Nous étions loin du quartier des bas-fonds ou bien du port.
Les plus belles maisons se tenaient de part et d’autres du chemin pavé qui menait au fort où deux gardes de la milice en pied se tenaient en faction sur les côtés de la double porte en bois massif. Marco dû attendre à la porte qu’on prévienne la fille du gouverneur, Ramsinna.
Marco ayant déjà succombé à la beauté de la dame se trouva une fois de plus sous le charme lorsqu’il la vît arriver vers lui dans son armure de maille.
Ramsinna le salua et ils allèrent discuter dans la cour extérieure du fort. Quelques miliciens vaquaient à leurs occupations sans visiblement se soucier d’eux.

Marco expliqua à la Capitaine qu’elle devait l’accompagner afin qu’il la protège mais celle-ci lui dit que son père voulait qu’elle reste ici pour avoir une meilleure protection… Marco déçu essaya de la persuader de venir mais rien n’y fît. Il trouva d’ailleurs cela étrange car le gouverneur demandait une protection de sa fille mais voulait aussi qu’elle soit au fort, ce qui pour éviter un assassinat est loin d’être la meilleure des idées.
Ramsinna le raccompagna à l’entrée du fort et pendant qu’ils échangèrent quelques banalités avant de se séparer, Marco se jeta brusquement sur la Capitaine. Il tomba sur le corps généreux de celle-ci mais n’eut guère le temps de s’attarder pour la romance. Il eu le temps d’apercevoir un homme en gris à l’abord des premières maisons qui tournait bride.
Son sixième sens l’avait prévenu d’un danger et il avait perçu un mouvement dans son dos. Un homme embusqué non loin de-là attendait la sortie de la fille du gouverneur pour lui envoyer un carreau mortel. Ce fût alors un branle-bas de combat dans la cour et Marco cria à l’assassin, les deux miliciens relevèrent leur Capitaine pour la mettre à l’abri au cas où l’homme avait un complice. Ramsinna se trouva alors une escorte compacte faisant un bouclier de leurs corps pour l’emmener en endroit sur. Marco donna des consignes aux miliciens pour retrouver le carreau et de l’apporter au médecin de la cour pour détecter tout éléments suspects. Les miliciens ne relevèrent pas qu’un civil leur donnait des ordres et se mirent alors à la recherche de la preuve assassine.
Marco lui se lança alors à la poursuite de l’homme qui avait attenté à la vie de celle qui considérait comme son amour.

Les talents de chasseurs et de voleur de Marco l’aidèrent à retrouver la piste de l’assassin, il repéra le motif de ses chausses sur les pavés et les poursuivit sans peine. Cependant, le vilain s’enfonçait dans la ville où les pistes devenaient beaucoup plus difficiles à suivre. Il perdu alors la piste et demanda autour de lui, la Déesse Akilima bienveillante l’accompagnait car elle lui donna le coup de chance qu’il lui fallait. Un marchand avait entraperçu l’arbalète bien dissimulée sous la grande cape grise du malfrat. La piste mena Marco au port.
La nuit commençait à tomber et l’endroit se trouvait moins peuplé qu’en pleine journée mais Marco connaissait le lieu comme sa poche. Il se dirigea vers un jeune garçon et lui lança une piécette pour qu’il aille chercher Guill et Ashurban, celui-ci réticent à sa demande, il lui lança alors une autre piécette.
Ensuite, il demanda aux groupes de matelots s’ils n’avaient pas vu un étranger. Les marins lui montrèrent l’homme qui se dirigeait vers une goélette et Marco courut vers le commissaire qui venait de délivrer l’autorisation de quitter le port. Il demanda alors au commissaire d’aller chercher la milice lui indiquant que l’homme venait de commettre un crime…

Aucun commentaire: