mardi 28 juillet 2009

Barbarians - Chapitre 4.1 Folklore Nordiques

Après d’âpres discussions sur les échanges commerciaux que nous allions mener dans les terres du nord, les nobles de la cité nous aidèrent à préparer notre départ.
Nous fîmes une dernière vérification et nous partîmes vers les rocheuses, un guide venant des tribus devait nous rejoindre sur une des rares pistes menant aux rocheuses.

Les chariots s’ébranlèrent et nous nous dirigeâmes vers notre destination. La route plutôt escarpée se frayait un chemin dans la montagne, le froid se fit de plus en plus piquant et nous enfilâmes nos tenues pour l’endurer. De la neige fine commença à tomber et nous devions rester vigilant le chemin disparaissant sous une mince pellicule de poudreuse. Arrivé au sommet nous nous attendions à apercevoir notre guide mais un tout autre spectacle se profila.

Sur le promontoire, des chariots entiers gisaient éventrés ainsi que les montures qui les avaient tractés jusqu’ici. Les traînées d’un rouge qui ne laissait aucun doute sur sa provenance nous indiquait qu’un combat violent c’était déroulé peu de temps sur ce même lieu. Nous décidâmes de chercher des survivants. Ashurban grâce à sa matière première préférée lança un sortilège afin de nous aider. Des traces se mirent à briller tel un rubis et nous indiquait que des corps avaient été traînés sur une certaine distance ainsi qu’une piste d’un homme ayant une jambe blessée.
La piste nous mena auprès d’une ravine où l’homme se trouvait, un faible cri nous parvenait et Marco descendit pour le récupérer. L’homme gisait les jambes cassées et les efforts pour le remonter nous épuisèrent. Son état médiocre nous indiquait qu’il lui restait que très peu de temps à vivre et nous n’avions rien pour soulager ses souffrances à part la solution radicale. Mais nous souhaitions connaître notre route et aussi qui pouvait avoir attaquer le convoi… L’homme des tribus commença à divaguer sur des grandes créatures poilues portant de grandes ailes qui s’étaient jetées sur le convoi enlevant les membres du convoi un à un. L’homme succomba ensuite de ses blessures.

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